Belga – 12 mai 2016 – lavenir.net
Extraits: « Certaines parties civiles avaient raconté, dès l’entame du procès en janvier 2016, avoir subi des maltraitances mais aussi des abus sexuels, notamment de cet éducateur. (…) Deux mois et demi plus tard, celui-ci s’est donné la mort affirmant que les accusations dont il faisait l’objet étaient trop lourdes à porter. »
Droit de réponse des parties civiles: « En aucun cas les parties civiles ont affirmés que des abus sexuels avait eu lieu en plus des maltraitances physiques par cette personne. (…) cette affirmation est tout simplement un mensonge. Ou une incompréhension de l’agence Belga et donc de la presse qui en découle. »
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