Extrait: « L’avocat a tout d’abord soutenu que certains faits étaient prescrits. Il a ensuite estimé que les récits des plaignantes ne tenaient pas la route, parlant de « frustrations d’adolescentes », celles-ci étant mineures à l’époque des faits, entre la fin des années 1980 et le début des années 1990. »